Collectif Ô 77

PERFORMANCE – UNE SEULE CERTITUDE

Pourquoi faire sûr quand on peut faire compliqué ? C’est en s’appropriant cette question que le Collectif Ô 77 a décidé de se tourner vers l’avenir sans vraiment envisager la suite, de faire table rase du passé en regardant vers l’arrière mais surtout de sortir de sa zone d’inconfort pour aller vers l’évidence de l’incertitude. Fidèle à lui-même il travaille depuis quelques semaines sur quelque chose qu’il n’a pas encore commencé. Brûler les étapes et les calories, se cramer les jambes sans se reposer les bras. Tout ça avec de la musique live. Une seule certitude : celle-ci.

Dans le cadre d’une déambulation artistique pour le festival d’art vivant Mozaïc fête ses 10 ans.

SPECTACLE – SO

À la recherche d’une danse physique aux contraintes fortes, liée à une musique live volontairement organique, So est un défi à l’épuisement des corps. Une danseuse et deux danseurs accompagné.e.s d’un batteur rebondissent ensemble sur une pulsation commune. L’intensité progresse constamment, passant sur la durée, d’un rebond vibratoire, presque imperceptible, à un rebond sauté, presque envolé. Avec ce crescendo allant de l’immobilité aux sauts le public est embarqué dans une transe quasi-hypnotique.

RÉSIDENCE – OCULTA

Oculta (« caché » en espagnol), poursuit une recherche autour du contact et d’une danse physique où les corps doivent s’appréhender pour mieux interagir. Après le saut, les quatre artistes souhaitent domestiquer les corps dans leur horizontalité afin d’élaborer une chorégraphie à même de contourner l’attendu et d’en jouer. Autour d’une installation sonore et musicale au centre de l’espace, Oculta est proposé en tri-frontal entre des circularités marquées, des variations radicales de vitesse, de déplacements, et un jeu de déséquilibres et de rééquilibres se privant au maximum du recours aux bras pour se rétablir.

RÉSIDENCE – SO

Après avoir pilonné le plan vertical avec « So », le collectif cherche aujourd’hui à domestiquer les corps dans leur horizontalité. « So » et « Oculta » sont pensés comme un diptyque. Cette seconde pièce nous invite à reprendre là où la première s’est arrêtée. Si « So » était un défi à la pulsation commune (musicale et corporelle) et aux gestes répétitifs, « Oculta » démarre juste après l’arrêt de ces sauts. Comment poursuivre sa quête « d’être ensemble » en se centrant non plus sur le geste partagé, répétitif, mais sur l’écoute à quatre ? Comment re-tisser une collectivité, une homogénéité en utilisant la gravité comme alliée ?

SORTIE DE RÉSIDENCE – SO

Après avoir pilonné le plan vertical avec « So », le collectif cherche aujourd’hui à domestiquer les corps dans leur horizontalité. « So » et « Oculta » sont pensés comme un diptyque. Cette seconde pièce nous invite à reprendre là où la première s’est arrêtée. Si « So » était un défi à la pulsation commune (musicale et corporelle) et aux gestes répétitifs, « Oculta » démarre juste après l’arrêt de ces sauts. Comment poursuivre sa quête « d’être ensemble » en se centrant non plus sur le geste partagé, répétitif, mais sur l’écoute à quatre ? Comment re-tisser une collectivité, une homogénéité en utilisant la gravité comme alliée ?

SPECTACLE – SO

À la recherche d’une danse physique aux contraintes fortes, liée à une musique live volontairement organique, So est un défi à l’épuisement des corps. Une danseuse et deux danseurs accompagné.e.s d’un batteur rebondissent ensemble sur une pulsation commune. L’intensité progresse constamment, passant sur la durée, d’un rebond vibratoire, presque imperceptible, à un rebond sauté, presque envolé. Avec ce crescendo allant de l’immobilité aux sauts le public est embarqué dans une transe quasi-hypnotique.

Dans le cadre du festival Rockomotives.

RÉSIDENCE – OCULTA

Oculta (« caché » en espagnol), poursuit une recherche autour du contact et d’une danse physique où les corps doivent s’appréhender pour mieux interagir. Après le saut, les quatre artistes souhaitent domestiquer les corps dans leur horizontalité afin d’élaborer une chorégraphie à même de contourner l’attendu et d’en jouer. Autour d’une installation sonore et musicale au centre de l’espace, Oculta est proposé en tri-frontal entre des circularités marquées, des variations radicales de vitesse, de déplacements, et un jeu de déséquilibres et de rééquilibres se privant au maximum du recours aux bras pour se rétablir.

SORTIE DE RÉSIDENCE – OCULTA

Oculta (« caché » en espagnol), poursuit une recherche autour du contact et d’une danse physique où les corps doivent s’appréhender pour mieux interagir. Après le saut, les quatre artistes souhaitent domestiquer les corps dans leur horizontalité afin d’élaborer une chorégraphie à même de contourner l’attendu et d’en jouer. Autour d’une installation sonore et musicale au centre de l’espace, Oculta est proposé en tri-frontal entre des circularités marquées, des variations radicales de vitesse, de déplacements, et un jeu de déséquilibres et de rééquilibres se privant au maximum du recours aux bras pour se rétablir.

SPECTACLE – SO

À la recherche d’une danse physique aux contraintes fortes, liée à une musique live volontairement organique, So est un défi à l’épuisement des corps. Une danseuse et deux danseurs accompagné.e.s d’un batteur rebondissent ensemble sur une pulsation commune. L’intensité progresse constamment, passant sur la durée, d’un rebond vibratoire, presque imperceptible, à un rebond sauté, presque envolé. Avec ce crescendo allant de l’immobilité aux sauts le public est embarqué dans une transe quasi-hypnotique.

Dans le cadre des Petites Scènes Ouvertes, réseau national de repérage et de soutien à l’émergence chorégraphique.

RÉSIDENCE – OCULTA

Oculta est une pièce chorégraphique et musicale en tri-frontal jouable en intérieur comme en extérieur. Le public entoure les interprètes et la musique est jouée live au centre du plateau. Le Collectif Ô 77 poursuit avec sa deuxième pièce son travail autour du contact et d’une danse physique où les corps doivent s’appréhender pour mieux interagir. D’abord un parcours infini de 3 corps se nourrissant d’interactions par la compression et l’étirement en gravitant autour de l’installation sonore et musicale placée au centre jusqu’à ne devenir qu’un. Par l’étourdissement via des circularités marquées, des variations radicales de vitesses de déplacements et un jeu de déséquilibres/rééquilibres en se privant au maximum du recours aux bras pour se rétablir, le terrain de jeu passe très progressivement d’espaces élargis à un périmètre le plus réduit possible pour inviter le public à une écoute intime du corps.

RÉSIDENCE – OCULTA

Oculta est une pièce chorégraphique et musicale en tri-frontal jouable en intérieur comme en extérieur. Le public entoure les interprètes et la musique est jouée live au centre du plateau. Le Collectif Ô 77 poursuit avec sa deuxième pièce son travail autour du contact et d’une danse physique où les corps doivent s’appréhender pour mieux interagir. D’abord un parcours infini de 3 corps se nourrissant d’interactions par la compression et l’étirement en gravitant autour de l’installation sonore et musicale placée au centre jusqu’à ne devenir qu’un. Par l’étourdissement via des circularités marquées, des variations radicales de vitesses de déplacements et un jeu de déséquilibres/rééquilibres en se privant au maximum du recours aux bras pour se rétablir, le terrain de jeu passe très progressivement d’espaces élargis à un périmètre le plus réduit possible pour inviter le public à une écoute intime du corps.

RÉSIDENCE – OCULTA

Pour leur seconde création Oculta (littéralement « caché » en espagnol) les quatre membres du Collectif Ô 77 poursuivent leur travail autour du contact et d’une danse physique où les corps doivent s’appréhender pour mieux interagir. Après avoir pilonné le plan vertical en rebondissant et en sautant à tout crin, le collectif cherche aujourd’hui à domestiquer les corps dans leur horizontalité tout en conservant le souci de créer un maximum de fluidité dans la contrainte physique.

RÉSIDENCE – OCULTA

Pour leur deuxième création « Oculta », les quatre membres du Collectif Ô 77 poursuivent leur travail autour du contact et d’une danse physique où les corps s’appréhendent pour mieux interagir. Après avoir exploré, pilonné le plan vertical en rebondissant et en sautant à tout crin, le collectif cherche aujourd’hui à domestiquer les corps dans leur horizontalité tout en conservant le souci de créer un maximum de fluidité dans la contrainte physique. Cette fois-ci il n’est plus question de repousser les limites de l’épuisement mais d’élaborer un jeu sensible et subtil en contournant l’attendu, le prévisible et en jouant tour à tour avec des espaces restreints ou au contraire élargis. Par la polyvalence des corps et l’interchangeabilité des rôles, Emilia, Hugues, Erwin et Charles-Antoine s’exercent au contre-pied. Tels des rémanences, les corps deviennent autant d’outils que de trompe l’œil dans le mouvement.